Discussion:Carpe diem
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Epicurisme
[modifier le code]C'est donc un hédonisme d'ascèse, une recherche de plaisir ordonnée, raisonnée, qui doit éviter tout déplaisir et toute suprématie du plaisir. C'est un hédonisme a minima : c'est un épicurisme (Horace faisait partie de ces épicuriens de l'ère romaine).
l'épicurien recherche justement la suprématie du plaisir. Il doit trouver plus de plaisir positif que négatif. Il ne doit éviter le déplaisir que quand il ne rapporte pas plus de plaisir.
Pardonnez moi, mais la phrase "Rendu célèbre auprès du grand public depuis l'Antiquité, l'extrait Carpe diem fait l'objet d'une mauvaise interprétation : traduit par « Profite du jour présent » (alors que les deux mots signifient « cueille le jour »), et compris comme une incitation à l'hédonisme le plus fort, peut-être le plus aveugle, il perd tout rapport avec le texte original, qui, au contraire, incite à bien savourer le présent (sans toutefois récuser toute discipline de vie) dans l'idée que le futur est incertain et que tout est appelé à disparaître" ne me parait pas limpide... Cette expression est-elle oui ou non une incitation à profiter intensément du moment présent et à refuser de différer son plaisir ? Attention de ne pas dire tout et son contraire dans la même phrase.. Sortons de l'ambiguité.
- Je suis assez d'accord, cette phrase n'est pas lumineuse. Si vous trouvez une meilleure formulation, proposez-la. --Localhost 12 octobre 2007 à 09:24 (CEST)
arieravie salmonifere...
[modifier le code]quelqu'un a ajouté ce paragraphe à l'article :
- C'est également le nom "Carpediem" d'un petit village du sud de l'Arieravie qui est un pays de Salmonifere au milieu de l'océan Atlantique. Ce village a été découvert par 3 chercheurs américains assassinés suite à cette découverte. Le FBI et les services secrets ont étouffé cette découverte.
devant l'absence de référence, ne trouvant ce qu'est l'arieravie, un pays de salmonifere ; avec une histoire de découverte étouffée par le fbi (??!!!!!) j'ai annulé les modifications... maintenant si quelqu'un m'explique mieux le pourquoi du comment, on pourra la remettre...--DuDuF... (d) 11 mars 2008 à 22:55 (CET)
Changement d'image
[modifier le code]Je vais remplacer l'image A par la B :
La B montre bien plus lisiblement la locution, et permet aussi d'utiliser le mode « thumb » automatique à la taille choisie par chacun dans les préférences (sans forcer une taille précise en pixels). — Babinski (Discutski) 4 avril 2008 à 21:57 (CEST)
carpe diem
[modifier le code]Il y a dans cette idée une incitation au fatalisme, à la dérision, au détachement et donc procède d'une vue très courte, peu propice aux plaisirs, à leur durée. Faire de l'absence d'anticipation une règle revient à accepter tel quel tout ce qui se passe, à faire fi des conséquences de nos actes, à se positionner en tant qu'irresponsable. Cette attitude correspond tout à fait à celle d'une servitude consentie au 'hasard', à une servilité 'volontaire', si tant est qu'il y ait de la volonté à proscrire cette dernière comme moteur de nos agissements. Que cette attitude puisse être adoptée lorsque l'on est handicapé (avec peu de moyens d'intervenir sur le réel) ou dans le grand âge peut être compréhensible, mais qu'elle soit le fait d'individus jeunes ou en parfaite santé, et sensés aduler les plaisirs est une singulière contradiction. ça ne peut être, en définitive, qu'une formule facile lancée au comptoir d'un bar et dans laquelle le souci du lendemain n'est vraiment que limité littéralement au lendemain.
Christian
carpe diem
[modifier le code]Il y a dans cette idée une incitation au fatalisme, à la dérision, au détachement et donc procède d'une vue très courte, peu propice aux plaisirs, à leur durée. Faire de l'absence d'anticipation une règle revient à accepter tel quel tout ce qui se passe, à faire fi des conséquences de nos actes, à se positionner en tant qu'irresponsable. Cette attitude correspond tout à fait à celle d'une servitude consentie au 'hasard', à une servilité 'volontaire', si tant est qu'il y ait de la volonté à proscrire cette dernière comme moteur de nos agissements. Que cette attitude puisse être adoptée lorsque l'on est handicapé (avec peu de moyens d'intervenir sur le réel) ou dans le grand âge peut être compréhensible, mais qu'elle soit le fait d'individus jeunes ou en parfaite santé, et sensés aduler les plaisirs est une singulière contradiction. ça ne peut être, en définitive, qu'une formule facile lancée au comptoir d'un bar et dans laquelle le souci du lendemain n'est vraiment que limité littéralement au lendemain.
Christian--90.40.228.80 (discuter) 15 septembre 2018 à 03:10 (CEST)
(Risque de) Traduction fallacieuse usitée en "example"! [Explication critique:]
[modifier le code]"Ne cherche pas à connaître, il est défendu de le savoir, quelle destinée nous ont faite les Dieux, à toi et à moi, ô Leuconoé ; et n’interroge pas les Nombres Babyloniens. Combien le mieux est de se résigner, quoi qu’il arrive ! Que Jupiter t’accorde plusieurs hivers, ou que celui-ci soit le dernier, qui heurte maintenant la mer Tyrrhénienne contre les rochers immuables, sois sage, filtre tes vins et mesure tes longues espérances à la brièveté de la vie. Pendant que nous parlons, le temps jaloux s’enfuit. Cueille le jour, et ne crois pas au lendemain." Traduction Leconte de Lisle, 1873...
-Les Romains croient en la divination, mais cela n'est pas (montré avec publicité que, cela est,) une vertu citoyenne. La Citoyenneté correcte, le grand sacerdoce de l'"Empire"... -A la différence (éventuellement ?) des Babyloniens qui, eux, n'ont pas culture qui "incorpore" dans leurs "concepts", de la même manière que "Rôme", "l'idée" de la Citoyenneté. (Peut être gèrent-ils l'aspect comportemental de leur(s) peuple(s) autrement, par autre(s) concept(s) pas forcément complètement(s) correspondant(s).) -Les Romains, éventuellement, donc, croient en ce que les occidentaux répugnent [(on peut comprendre vu cette traduction)] à croire, la "Destinée", autrement dit le Destin.
Je me limite à la première partie du poème, sauf pour la traduction finale mais: -Le français à ses limites! -Qui comprend un mot français qui dit exactement l'ensemble de ces cinq mots, dans la vision que Rome "pouvait" en avoir: « déchirer, censurer, trier, choisir, goûter, profiter ». ? -;Tout en ignorant pas les sens précédents du mot "Carpe"
Le choix de "Cueillir" est simpliste, culturel, et (j'insiste sur) fallacieux (en tout cas, à notre époque).
[Carpe est une forme impérative venant du verbe latin carpo, carpis, carpere, carpsi, carptum. Ce verbe a pour signification primitive « brouter » (de l'herbe), « cueillir » (une fleur) ; puis « déchirer, censurer, trier, choisir, goûter, profiter ». ]
Je m'explique, "Carpe" a rapport au "choix": -la censure c'est un choix -trier c'est choisir -déchirer c'est diviser (et donc choisir (l'un plutôt que l'autre)) (d'ailleurs qui déchire a "déjà" choisit, sinon il ne déchirerait pas) -gouter c'est se donner la possibilité d'un choix (~bon/~mauvais) -quand à profiter, cela demande explication particulière:
-profiter, c'est préférer quelque chose plutôt qu'autre chose, sinon on ne "profite pas de" mais on "profite des", -profiter, c'est "abject" pour la vertue citoyenne (qui toujours fait (la vertue citoyenne) le bon choix pour la citoyenneté), il n'y a donc pas de profit, puisque est fait, ce qui est ""valable"" et donc, pas de "profit ("à la français(e)")"
c'est là, que l'on (peut) voir(t) que le profit a aussi rapport à déchirer, "déchirer la citoyenneté" en fait
maintenant, cueillir: -cueillir (une fleur), c'est couper, un peu déchirer quand même, autrement dit, ca a beau être "bien déchiré", c'est quand même déchiré -cueillir (de la nourriture), c'est valable si c'est pour sustanter à un besoin vital (oui, il y a quand même aussi notion de stoïcisme et donc d'ascèse dans ce poème, m'est d'avis, comme le mentione un autre article dans les discutions)
- pourtant, en français moderne (,déjà au moins), en tout cas:
-cueillir c'est profiter de, on coupe pour profiter (que ce soit d'une fleur ou d'un tige de blé) (N.B.: ce qui vient d'être dit juste au dessus)
Tout, justement, l'opposé de ce que les autres sens du mot, en latin, (pouvait) désign/ent(r), en fait, la traduction est fallacieuse (ou l'est devenue) parce qu'elle incite, qui plus est, hors contexte, à "profiter" du "~moment~". A se fiche du moment peut-être même.
Amis de la Sapience, ne vous rendez-vous donc pas compte, à quel point, cela en est même mentsongé, à notre époque, dans "la culture présente" (que je connais (aussi)) comme traduction (celle de Leconte de Lisle, 1873 (mes respects...) ?
Pour ma part, j'aurais amené une autre traduction, pardonnez la faute de français mais le français a ses limites que les fautes n'ont pas.
"carpe diem, quam minimum credula postero.": "Sois à minima crédule pour que le prochain (moment/jours), tu puisses cueillir" (version "gentille et optimiste") "Sois à minima crédule pour que le prochain, ne te déchois pas" (version littéraire pseudo religieuse et/ou monarchique) "Sois à minima crédule pour que du prochain, tu puisses profiter (...)" (...profiter quand meme, si ta destinée est "maudite") "Sois à minima crédule pour que du prochain, tu n'ai, toujours, pas de choix, à faire, plus que tu n'en as l'habitude." ou encore: "Sois à minima crédule pour que du prochain (moment/jours), tu n'ai, cardixnaltivement (*), pas de meilleur choix à faire."
- Cardixnaltivement:
Car (comme carpe, l'origine sémantique et historique) Dix comme di(x)vise, qui va avec le "x" de choix cardinal (comme les points cardinaux, faux amis de l'aspect religieux mais bon allié de l'idée de "valeur (et) morale (et citoyenne)" le ti, je l'explique autrement: -si il n'y était pas, il y aurait un soucis de sonorité -on ne peut pas raccourcir en "cardinalement" car dans ce cas, il y a des autres sens déjà (c'est suffisant), de plus, le X a aussi tendance à désacraliser l'aspect religieux (comme la malédiction, le "VEX"), tant mieux pour la laïcité (valeur moderne de la France, je vous le rappel au besoin), et donc à rendre manifeste la notion de citoyenneté il y a des sens tordus évidents (je sais que le Français, adore toujours les torxsions... ;) (pour l'instant) )
Comme je le disais, le Français à ses limites, et malheureusement, en tant que "scientifique" (pseudo historien, linguiste, philosophe, cuistre, etc), il est de mon devoir d'alerter à ce sujet
(Je finis en plaisantin outrancié:) (ho tient, un sujet, ça sent "encore" la monarchie...)
Si jamais la France veut s'en passer, ma traduction, à moi, est encore bien meilleure: "carpe diem, quam minimum credula postero.": "Sois à minima crédule pour que le prochain jours, soit meilleur" (*) ou sinon:
Je vous le dit Franchement, Français de bon alois, changez de language toi dois.
P.S.: Les "fautes", sont (sauf omission involontaire), volontaires.
- car: "Quidam, ad vitam eternam, si tu crois avec la connaissance, la connaissance est bien meilleure que sans toi!"
car sans toi, pas de connaissance, et quand il n'y a pas de toi, tu n'es pas conscient, donc tu es plus facilement crédule autrement dit: "va faire de la divination, vois ton destin "maudit" (comme j'ai déjà dit) et constates le changement de destin quand tu agis en bien"
ce n'est pas à prendre au sens propre mais c'est l'explication véridique (la mienne en tout cas) et résumée, de ce poème traduit par Leconte de Lisle, mes respects une dernière fois.